Timworld, les aventures multiculturelles d'une jeune maman

Timworld, les aventures multiculturelles d'une jeune maman

2020!


Il y’a un an je faisais le bilan de mes 33 ans sans savoir ce que 2020 nous préparait. Un bilan s’impose, cette année plus que les autres. Surtout que selon la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples il me reste un an pour etre classée parmi les « jeunes » parce que 《Jeune : Aux fins de la Charte, signifie toute personne âgée de 15 à 35 ans》.

Et vous? Avez vous fait votre bilan ?

 

A lire sur le nouveau blog ➡️➡️ https://timworlds.com/2020-2/

 


30/12/2020
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De Timworld à Tim Worlds

 

 

 

 

Hello! 

 

Après 05 ans de blogging sur cette plateforme Timworld migre et devient Tim Worlds. Je vous invite sur www.timworlds.com cool

 

Une nouvelle rubrique qui se nomme Tim a testé vous y attend https://timworlds.com/tim-a-teste/ . Vous savez que j'aime les découvertes et les nouvelles aventures alors retrouvez moi désormais sur ce nouveau blog pour la suite de mes aventures. 

 

Je tiens à vous dire 35000 MERCIS pour toutes les fois où que vous avez lu et commenté mes 100 articles sur ce blog. La suite sera encore plus moi wink

 

Suivez moi sur Instagram, Twitter et Facebook https://www.facebook.com/Tim-a-testé-109019090860420/

 

Je vous y attend impatiemment dans mes mondes!! 

 

 

 


06/08/2020
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Mangoro Love

MANGUE.jpg

 

 

La mangue et moi c'est une grande histoire d'amour ! Mon père adorait les mangues et il y avait et il y'a toujours chez nous, dans la maison de nos parents, à côté de la grande table à manger,  un grand panier rempli de mangues (quand c'est la saison) ou d'autres fruits et ce, toute l'année.

 

C'est la saison des mangues actuellement (depuis le mois de Mars) en Afrique de l'ouest ou du moins au Burkina et au Mali où je réside. Cette année je pense que d'ici la fin de la saison quelques mangues vont pousser sur mon corps tellement j'en consomme… Du petit déjeuner au dîner. Nature, en jus nature ou en cocktail de fruits, en dessert, en smoothie, en salades, etc.

 

>>> A lire Mangue et chouchou en folie!

 

Je teste toutes les variétés sur le marché. J'aime tout dans la mangue ! Certaines sont meilleures en jus comme celles appelées mangue-ananas, d'autres en salade ou dont la peau est comestible appelées ici “greffe ou greffée”. Au Burkina outre le grenier des mangues et des fruits qui est Orodara (région des Hauts Bassins), je raffole des mangue de Koudougou et/ou de Réo (Centre Ouest du Burkina). C'est comme si ces mangues là étaient plantées avec de la canne à sucre ou du miel, toujours délicieuses !

 

Au Burkina pendant la saison nous ne nous en privons pas. Après la saison nous retrouvons sur le marché des mangues séchées, du vinaigre de mangue et des jus embouteillées ou empaquetées. La mangue se consomme donc toute l'année sous ces différentes formes. A Bamako et Ouagadougou en ce mois d'Avril, selon la taille, pour 500 frs CFA je peux avoir 4 mangues moyennes ou 7 petites mangues, imaginez donc les prix en provinces... Quand je pense que je payais le kilogramme de mangue à Libreville à 1500 frs CFA, c'était parfois deux mangues moyennes ou 3 à 4 mangues pour deux kilogramme, venues de loin, parfois même de mon Burkina natal...  

 

>>> A lire Tous au sec! Ces aliments séchés que je découvre.

                 Dakar, Kampala, Libreville puis Antananarivo! 11 ans loin de chez moi...

 

Selon le site passeportsanté “La mangue est le fruit tropical le plus consommé au monde après la banane. Sa chair orangée et juteuse est une bonne source de fibres et de vitamine C. Elle aurait un potentiel anti cancer, notamment grâce à son contenu en antioxydants.” Nous sommes des milliards en nous en délecter avec plaisir !

 

Selon les nutritionnistes et plusieurs experts et diététiciens que j'ai lu et écouté, il est important de consommer des fruits de saison car c'est ce dont notre corps à besoin à ce moment de l'année. Les fruits et les légumes ne poussent pas par hasard à des périodes données, ils mûrissent au moment où notre corps à besoin de leurs nutriments pour bien fonctionner. Ils nous apportent les minéraux et vitamines nécessaires selon le climat nos besoins nutritionnels. Après les fraises, les mangues, alors pour votre santé consommez des fruits et des légumes de saison!

 

>>> A lire Madagascar en fruits et légumes!

 

De quel fruit est-ce la saison chez vous actuellement ? Merci de nous parler de vos fruits et légumes de saison et des transformation possible que vous en faites dans votre pays.

 

Que votre journée et cette semaine soient aussi douces que la plus succulente des mangues !

 

Tim.

 

 


17/05/2020
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Imagine!

 

 

www.tim-coach.com 

 

2003, autour de cette grande table familiale qui pouvait accueillir plus de 12 personnes nous étions trois. Papa, maman et moi. Depuis le mariage de ma soeur Zara en 1999 (l'avant-dernière), j'étais la seule enfant sur les 8 à la maison (plus tous nos cousins et cousines élevés par nos parents), moi la lagaré (la benjamine). Je terminais le premier trimestre de ma Tle G2. À quelques jours de mes 17 ans, nous étions assis à cette table. Cette belle table en bois, robuste et plus âgée que moi.

 

>>> A lire https://timworld.blog4ever.com/une-vie-de-lagare

 

 

Source: www.Lesbeauxproverbes.com 

 

Comme tous les jours nous discutions, de la saveur du repas, de l'actualité, de nos journées, de nos vies. Mon père était a sa place, il présidait, ma mère à sa gauche et moi à sa droite. Il préférait manger à la cuillère. Que vous ayez faim ou pas, que le plat vous semble appétissant ou pas, si vous voyiez mon père manger, déguster, savourer, honorer chaque cuillerée vous auriez l'appétit . En fermant les yeux je peux encore entendre le rire de mon père, ce rire fort, ironique, assumé et communicatif laughing.

 

>>> A lire https://timworld.blog4ever.com/mon-pere-mon-heros

 

A la fin du repas mon père commence le jeu "Imagine". Il l'a sûrement fait avant mais c'est de ce jour dont je me rappelle particulièrement. Maintenant que je forme d'autres personnes je me rends compte que c'était un jeu de visualisation positive, ce jeu avait pour but de me permettre de dépasser mes limites et de stimuler mon imagination. Et il a réussi !

 

Papa nous dit "imaginez que nous avons 1 milliard là maintenant, qu'est-ce que vous voulez faire?" Maman parle de ses projets, toujours en rapport avec la famille, les dons, des voyages, l'amélioration de notre quotidien et surtout des économies à faire pour en profiter sur le long terme. Cette femme ne perd jamais le nord. Mon père est d'accord avec maman et évoque en plus tous les investissements qu'il fera pour son école et ses proches. Puis il s'adresse à moi: 

- Papa: toi Fatim où tu voudrais allez faire tes études?

- Moi: aux États Unis.

- Papa: mais Fatim les États Unis c'est trop proche, si j'ai 1 milliard tu iras faire tes études en Australie ma fille, ne te fixe pas de limite!

- Moi de repondre en riant : et je pourrai voir les kangourous.

Nous avons continué ce jeu d'imagination à trois en rires et en joie. Je vous assure que je voyais déjà les kangourous et les paresseux (animaux) sur leurs arbres.

 

Souce: www.apprendreaeduquer.fr 

 

Je m'en rappellerai toujours parce qu'à chaque fois que je me relache et que je veux me contenter de viser un petit objectif je me rappelle de cette histoire et je me ressaisis. C'est peut-être pour ça que voyager ou résider dans un pays où je n'avais jamais mis les pieds au auparavant ne m'a jamais effrayé. J'imagine toujours le meilleur pour moi. Je me rappelle toujours que mon imagination est ma seule limite.

 

>>> A lire https://timworld.blog4ever.com/confiance-en-soi-l-importance-des-reserves-d-amour

 

Nous rencontrons parfois des personnes qui nous disent "j'ai de nombreux projets mais si seulement j'avais de l'argent...". Si vous leur demandez "combien il vous faut concrètement pour réaliser ces projets?", peu d'entre eux pourront vous donner un montant précis. En coaching nous leur posons cette question "imaginez que vous avez en votre possession un budget illimité, que ferez vous ?". Et là de nombreuses personnes n'arrivent pas non plus à imaginer, à sortir de leurs limites, de leurs croyances, ils ont même peur d'imaginer. Pourquoi ? Et bien parce qu'ils n'ont pas appris à rêver, à imaginer donc à sortir de leurs zones de confort. Même leurs rêves manquent cruellement d'ambitions et de couleurs. Pourtant c'est gratuit de rêver, d'imaginer.

 

 

Source : Citation Célèbre 

 

 

Nous vivons actuellement une période tourmentée, pleine d'incertitude. Nous assistons à une mise au point mondial. Tout ce qui nous semblait impossible ou improbable il y'a seulement quelques mois nous semble possible aujourd'hui à cause d'un petit virus. Nos croyances sont bousculées et remises en cause. Le choc passé, nous avons dû nos adapter pour vivre le présent. Cependant il nous faut, malgré tout, imaginer le futur. Croire que nous survivrons à ce Covid19 et envisager l'après. Nous allons devoir nous réinventer pour vivre dans ce futur que nous espérons. Comment l'imaginez vous? A quoi revez vous? Si vous arrêtez de rêver, d'y croire et de ressasser les mauvaises nouvelles au quotidien vous ne vivez plus, vous survivez.

 

En cette période où nous expérimentons ou redécouvrons nos enfants et nos proches, nous pouvons jouer à ce jeu d'imagination pour stimuler notre positivité et la leur. Stimulez l'imagination de vos enfants. Faites les rêver. Autorisez les à rêver grand, haut et fort. Ça peut changer leur manière d'appréhender le monde, les épreuves, l'adversité et les bonheurs futurs.

 

>>> A lire https://timworld.blog4ever.com/le-bonheur-c-est-peu-de-choses

 

Moi j'imagine mes voyages seule ou en famille, les dédicaces de mes livres, mes formations, les repas avec toute ma famille et mes amies... Dans mes rêves actuels je voyage et je m'en rappelle. Dans mes rêves éveillés je vois beaucoup d'autres choses dont j'espère vous parler un jour.

 

PS: respectons strictement les mesures d'hygiène et de distanciation édictées par les autorités de nos pays.sealed

 

Source: Croix-rouge française 

 

Imaginons vivants! Rêvons vivants ! Vivons vivants ! cool

 

Tim

 

 


13/04/2020
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Souvenirs et paranoïa, ma vie au Gabon

Depluis plusieurs semaines, Il y'a au Gabon une psychose concernant des supposés enlèvements d'enfants pour effectuer des crimes rituels. Des messages sur les réseaux sociaux alimentent cette paranoïa. L'enlèvement le 12 janvier d'un garçon de 3 ans prénommé Rinaldi, dans un village situé dans le nord du pays, n'a fait qu'accentuer les inquiétudes de la population. Les écoles  ont été fermées pendant plusieurs jours car les parents se refusaient d'y envoyer leurs enfants. 

 

Il faut vivre dans ce pays pour comprendre cette peur. J'ai résidé 4 ans en famille à Libreville et je peux vous dire que ces enlèvements que nous lisions dans les journaux m'ont traumatisée. Oui la vie au Gabon m'a rendu paranoïaque, moi la mère de 3 enfants en bas âges.

 

>>> A lire https://timworld.blog4ever.com/de-dakar-a-tana-l-afrique-de-l-ouest-au-sud

 

 

Ma première fille a vu le jour à Libreville, les jumeaux à Ouagadougou parce que j'y tenais, mais nous y sommes retournés après leur naissance. La délicatesse de ma seconde grossesse était telle que je ne pouvais plus conduire à 3mois de grossesse, et un matin j'ai lu le dossier de Jeune Afrique avec comme titre "Crimes rituels : sur l’autel de la puissance et de l’impunité" du 10 juin 2014. Je fus définitivement traumatisée. Parce qu'en plus des enfants, il y'avait des rumeurs d'enlèvement de jeunes femmes et surtout de femmes enceintes. J'évitais donc les taxis. Dieu étant merveilleux, nous avions retrouvé là-bas l'ancien cireur de chaussures de mon père devenu taximan prospère à Libreville. C'est lui qui au besoin, m'amenait effectuer certaines courses dans la journée en toute confiance.

 

 

Cet article venait après la lecture chaque semaine dans les journaux du pays de la disparition d'enfants dont on découvrait, parfois, plus tard, des membres, des restes au bord de la mer, dans des glacières, des lieux isolés... Les détails étaient à chaque fois sordides et terrifiants. Je peux vous dire qu'aucun de nos voisins ou des personnes de mon quartier n'ont vu mes jumeaux. Impossible pour moi de les promener dans leur poussettes dans les rues de notre quartier, nous allions le faire autour du stade de Angondjé ou ailleurs. Nous avons amené avec nous une nounou, une dame d'une quarantaine d'années, du Burkina Faso parce que sinon je n'aurai jamais pu sortir de ma maison sans mes enfants. Certaines nounous là-bas avaient aussi disparu avec des enfants... L'article expliquait aussi qui étaient les cibles de ces crimes rituels et vous savez tous les fantasmes nourris sur les jumeaux, les parents de jumeaux et les albinos.

 

 

Par la force des choses j'ai vu des photos d'enfants et d'adultes mutilés, démembrés, auxquels on a enlevé des organes... Des mères, des parents témoigner de cette atrocité. Vous pouvez les retrouver sur Google en tapant juste "crimes rituels" (Âmes sensibles s'abstenir fortement). De plus, l'existence des loges, l'ambiguïté de certains lieux de cultes, cette expression décomplexée de la cupidité et du gain facil, renforçaient mes craintes . Comprendrez donc ma paranoïa, mon traumatisme, nos traumatismes...

 

Il y a eu des marches, des manifestations, des témoignages horribles de parents qui n'avaient soit rien à enterrer soit une jambe, une tête, un corps mutilé si l'enfant était retrouvé... et nous ne parlions là que des parents qui osaient porter plainte. Les immigrés ouest africains (les ouestaf comme ils nous appellent) et d'autes pays qui y sont ne portent pas plainte car plusieurs d'entre eux n'ont pas de carte de séjour et ont peur de se faire arrêtés, harcelés, rapatriés, escroqués s'ils mettent le pied dans un commissariat. Ils taisent leurs peines et leurs douleurs pour ne pas perdre tout ce qu'ils ont acquis durement pendant des années de clandestinité. Les réalités de l'immigration sont terribles.

 

 

Un dimanche soir où nous étions chez ma soeur et beau frère à Libreville, mon mari reçoit un coup de fil d'un ami en plein désarroi. L'une des femmes de l'imam de la mosquée de son quartier avait disparu depuis le matin avec leur bb de 2 mois, enlevés par une voiture lors de ce qui resemblait à un supposé control de police. Elle a dit ne pas avoir ses papiers sur elle et ils lui ont demandé de leur laisser son bb pour aller les chercher, ce qu'elle a évidemment refusé. Quelques mètres plus loin une voiture se gare et la pousse dans la voiture, encadrée par deux personnes elle aurait eu les yeux bandés et aurait été conduite dans un lieu inconnu où elle a été laissé seule. Elle a alors pu appeler son époux mais était incapable de se situer géographiquement. Elle n'avait plus de crédit. Ils lui font un transfert pour qu'elle reste joignable.

 

 

Mon mari qui était dans la téléphonie mobile a donc été appelé pour savoir comment se téléphone pouvait être tracé. S'en suivent plusieurs tractations pour qu'en ce dimanche soir cela puisse être possible. Pour ce type de demande il y a des procédures précises. Il contacte ses collègues, son DG, des connaissances, des hommes de lois, ... la machine se met en branle... son ami et l'imam ont été plusieurs fois au commissariat dans la matinée pour déclarer la disparition et l'appel au secours de cette mère et ils leur auraient assuré que la plainte avait été reçue. Après les multiples appels de ce dimanche soir il ressort qu'aucune plainte n'avait été déposée ce jour concernant une disparition, aucune trace nulle part donc évidemment aucun signalement et début d'enquête malgré l'urgence... Notre peur grandit. La femme a été enfin localisée dans un quartier grâce à cette mobilisation et à la technique et l'imam et notre ami étaient en route pour la chercher quand elle a été retrouvée à un carrefour, larguée par une voiture et complètement hagarde... traumatisée mais vivante, son bb aussi. Dieu merci. Nous avons conclu qu'ils ne s'imaginaient pas qu'il puisse y avoir une telle mobilisation pour une pauvre dame sans papier un dimanche à Libreville. L'iman a par la suite fait rentrer femmes et enfants au pays.

 

Ces crimes rituels sont attribués à des personnes du monde politique et des affaires en quête de pouvoir, de puissance, de conquête ou de reconquête d'un statut social. Les rares kidnappeurs arrêtés ont servi d'exemple mais rarement des commanditaires ont été interpellés et condamnés... comme d'habitude sous nos cieux.

 

Ce sentiment d'insécurité et de paranoïa, cette peur, cette psychose je la comprends parfaitement et j'imagine la révolte,le ras-le-bol, ce sentiment d'injustice et d'impunité qu'ont les gabonais en ce moment. Le gouvernement dément les rumeurs qui selon elles sont fausses. Les question à se poser sont plutôt:

- qu'est ce qui amène un peuple à croire à ce type de message?

- mesurez vous le degré de traumatisme des gabonais et des habitants du Gabon?

- comment de telles rumeurs peuvent paraliser l'année académique sans aucun fondement ?

- à quoi ressemble un peuple qui n'a pas confiance en ses dirigeants et en sa justice ? Il se fait justice lui-même. La preuve deux personnes soupçonnées d'enlèvement d'enfants ont été lynchées ces derniers jours par une foule révoltée.

L'actualité gabonaise de ces dernières semaines m'a replongée dans des souvenirs difficiles et dans une forme d'anxiété....Courage aux gabonais!

 

Désolée si j'ai plombé votre début de week-end il est important de savoir que chaque pays vit ses réalités en fonction de ses croyances et de son imaginaire collectif. Nous ne sommes pas à l'abri dans nos pays, il y a eu plusieurs cas en Côte d'Ivoire ces dernières années qui m'ont m'ont profondément bouleversée ?. La quête du succès et du pouvoir sans intégrité ni état d'âme est nuisible pour la société.Que Dieu protège tous nos enfants et qu'IL veille sur eux partout et à tout moment ??. Soyons et restons prudents et vigilants où que nous soyons.

 

Si vous croyez que vous avez tout vu et tout vécu, voyagez, vous verrez qu'il y a encore des choses, à voir, à découvrir en bien ou en mal mais c'est tout cela qui nous procure des expériences. Votre vérité n'est vraie que dans votre contexte et selon vos croyances, ailleurs il y a d'autres réalités, d'autres vérités et que vous y croyiez ou pas, que vous les compreniez ou pas, elles existent.

 

Article pour mieux comprendre le sujet (âmes sensibles s'abstenir):

- https://www.jeuneafrique.com/137350/societe/gabon-crimes-rituels-le-prix-du-sang/

- https://www.jeuneafrique.com/52666/politique/crimes-rituels-sur-l-autel-de-la-puissance/

- https://www.jeuneafrique.com/52734/societe/crimes-rituels-au-congo-la-cata-kata-kata/

- https://m.le360.ma/afrique/cote-divoire-senegal-mali/societe/2018/03/10/19682-afrique-une-recrudescence-inquietante-des-crimes-rituels-19682

- https://www.google.com/amp/s/www.voaafrique.com/amp/4266219.html

 

Tim 

 

 


06/03/2020
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